Hommes-femmes : les chiffres du déséquilibre

Checheuses : leur combat pour l'égalité

N° 368 - Publié le 3 janvier 2019
Laure Bombail

« Pour être admis en thèse, la cooptation était monnaie courante, explique Valérie Le Cann, responsable du pôle observatoire et indicateurs de l’Université Bretagne Loire.

Désormais, nous fonctionnons par projet, avec la plateforme numérique Thèses en Bretagne Loire(1). » Les offres de thèse y sont publiées pour être visibles de tous les aspirants doctorants. « Cette transparence limite l’admission par cooptation. Ce sont les compétences qui déterminent la sélection, plutôt que les relations personnelles. » Le genre est également un critère à bannir. Aujourd’hui, les statistiques montrent de fortes disparités (voir infographie ci-contre). Les femmes vont moins que...
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