L’air pollué ralentirait le cerveau

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N° 373 - Publié le 13 juin 2019
S. Leblond & C. Meyer
En ville, la mousse est récoltée sur les murs des cimetières (ici à Lyon). Elle concentre les polluants et permet de cartographier la qualité de l’air.

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Cent mille personnes sont suivies.

Et si le cerveau fonctionnait moins bien, quand on vit longtemps dans un air pollué ? Pour le savoir, Bénédicte Jacquemin, médecin et épidémiologiste à l’Irset(1), coordonne à Rennes le projet Pocomo(2). Il a commencé en 2017 mais s’appuie sur des recherches antérieures. Depuis 1996, pour surveiller la qualité de l’environnement, un projet coordonné par le Muséum national d’histoire naturelle(3) consiste à étudier les mousses, récoltées dans les forêts. N’ayant pas de racines, elles absorbent...
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