Rugby : comment expliquer les commotions à répétition ?

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N° 417 - Publié le 22 février 2024
© NICOLAS TUCAT / AFP
Depuis janvier, les joueurs professionnels doivent porter un protège-dents connecté qui analyse en direct la puissance des chocs pour mieux détecter les commotions.

Avec le Tournoi des six nations, les crânes des rugbymen sont au centre des préoccupations. Il faut dire que certains symptômes des commotions cérébrales peuvent perdurer.

 La compétition prendra fin le 16 mars et avec elle son lot de plaquages, coups et chutes. Pour le spectacle, le jeu, la ferveur des spectateurs, on court on cogne on tombe. Et parfois, sous l’effet d’un choc, le cerveau heurte la boîte crânienne. « Le rugby fait partie des sports, comme le hockey sur glace ou le football américain, où les risques de commotion cérébrale sont importants », souligne Anne-Hélène Olivier, chercheuse en biomécanique à l’Inria1 et à l’Université Rennes 2. Si la...
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