« Si l’on ne fait rien, l’objet tombe en poussière »

Sous l'eau, des trésors endormis

N° 409 - Publié le 4 mai 2023
A-CORROS
Retrait mécanique des concrétions marines de l'ancre du Grand-Saint-Antoine, connu pour avoir apporté la peste à Marseille en 1720. Le navire fut vidé et brulé au large, pour enrayer l'épidémie.

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Alors que certaines épaves sont très bien conservées, d’autres se désintègrent. Et la sortie de l’eau est une phase particulièrement risquée pour la survie de l’objet.

Les épaves ne sont pas éternelles. Au fond des océans, oubliées et abîmées, certaines disparaissent avant même d’être retrouvées. D’autres sont découvertes presque intactes, des centaines d’années après leur naufrage. Sous l’eau, les matériaux ont en effet de plus grandes chances de survie que sur terre même si les conditions de conservation varient énormément selon l’environnement dans lequel ils sombrent. Le type de sol, les courants, la pression, la température ou encore la salinité sont...
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