Les mystères des mines de cuivre

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N° 427 - Publié le 3 mars 2025
© ZOE POTTIER
Les oxydes de cuivre sont visibles sur ce prélèvement en vert la malachite, en bleu l'azurite.

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Malachite et azurite comptent parmi les oxydes de cuivre : des minéraux formés à partir de ce dernier et que l’on retrouve dans la roche. S’ils intéressent Zoé Pottier, étudiante du master 2 en Sciences de la Terre, des planètes et de l’environnement à l’Université de Rennes, c’est parce qu’elle revient du Mexique où elle a étudié le gisement de cuivre de Milpillas. En analysant des échantillons prélevés dans la mine, elle souhaite dater la formation de ces composés pour mieux comprendre la formation des gisements. « Ils sont les résultats d’infiltrations d’eau qui ont entraîné des particules dans une zone où elles se sont accumulées, ainsi que de l’érosion qui exhume ces roches. En comprenant mieux les altérations propices à la concentration du cuivre, on peut potentiellement trouver de nouveaux gisements », explique l’étudiante. Une question qui fait directement écho à l’actualité puisqu’à l’heure de l’électrification de la société, la demande en cuivre (nécessaire à la production de câbles et de batteries) est multipliée et que les gisements connus s’épuisent.

Violette Vauloup

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